Nell'ambito del Master 1° Livello "FABRIQUER ET REPRÉSENTER LES GRANDS TERRITOIRES. L’espace public dans les projets de requalification des Quartiers de la Politique de la Ville de la Métropole du Grand Paris", 11 - 15 février 2019 - Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Paris Belleville (ENSAPB), la conferenza si è incentrata sulle pratiche di rigenerazione urbana, a partire dall'idea dello spazio pubblico come bene comune.
Dalla relazione presentata alla conferenza:
Je parlerai aujourd’hui de la situation italienne, avec une référence particulière aux pratiques de régénération urbaine menées dans certains quartiers, ainsi que dans certaines expériences de projet développées au niveau de la didactique et de la recherche appliquée.
Mais, avant tout, je parlerai du rôle de l'espace public dans les processus de régénération et de réappropriation de la ville, parce que il est non seulement l'un des principaux instruments de la gouvernance territoriale et du contrôle de toutes les formes de partenariat public/privé, mais, comme il est logique, c'est dans cet espace que «les liens interpersonnels, les relations sociales, les communautés ethniques se manifestent, à coté de nouveaux rites collectifs et de manières innovantes de participer à la vie publique". C'est l’espace public qui devient le lieu - physique et métaphorique – principal pour activer un processus possible d'identité ou d'identification qui, à partir des communautés que ces espaces vivent dans la vie quotidienne, est capable d'accueillir l'autre, l’altérité. Comme l'écrit Daniel Innerarity (Le nouvel espace public, 2006) dans l'hétérogénéité croissante de ceux qui agissent dans l'espace public, «les identités peuvent être comprises comme des réalités flexibles [et] la meilleure des cultures, ce qui les défend le plus efficacement face à leur propre stylisation, est la rencontre, la traduction».